vendredi 6 avril 2012

MERCI ! CHER PROFESSEUR !




Merci à mon professeur pour m'avoir
   enseigner tout son savoir. 
                      Les matières que vous nous appreniez. 
       On fait de nous des personnes équilibrées.
Quand on est enfant, on pense qu'un professeur ; c'est bien fatigant.Mais, sans un enseignant, on ne saurait   pas quel est notre talent.





Car, apprendre à des enfants ,
Cela prend un coeur, c'est bien évident.
En tant qu'enseignant, vous nous avez donné 
Un savoir pour faire un bon métier.








À tous les enseignants!








Voilà, je souhaite remercier mon prof "m. Djoudi " pour cette 

       année car il m'a réellement redonné gout aux cours. 




mercredi 4 avril 2012

Maher Zain - Inchallah (Français)





"Blanc sans N, ça fait black... comme quoi

 sans haine on est tous pareil."







"Tout ce qui nous empêche d'être qui on veut, 

c'est la peur."




Fais que chaque heure de ta vie soit belle


Le moindre geste est un souvenir futur.




A quoi servent les garcons -


lundi 26 mars 2012




     

Petit crayon, Prête moi ta gomme   

     J'aimerais,Tout effacer 

  Et tout recommencer


lundi 19 mars 2012

• Mon parcours universitaire



  • En terminale:

Quelques semaines avant le bac je passe des heures à la bibliothèque. Je ne bosse pas les autres matières à fond, mais je me sens légère et je suis optimiste. Je fais nuit blanche tous les soirs de la semaine du bac, et le matin je recrache tout ce que j'ai assimilé la nuit même. Je fais un hors sujet en français, je panique, mais apparemment le correcteur a aimé mon hors sujet puisque j'obtiens 17en français , et mon bac avec une moyenne de 11,.. .
A ce moment là il est évident pour moi que je vais faire « français », mais toute l'année de terminale j'ai hésité avec une faculté du droit. En revanche j'ai beaucoup plus de doutes sur le fait que je m'en sorte en « français ». Pas organisée, pas bosseuse.
Et puis je tombe sur la présentation d'une nouvelle licence de français à l'université de Mohamed Khaider "Biskra" . Mon choix est accepté. Je suis prise... et je me retrouve avec 250 étudiants, qui ont été sélectionnés soit parce qu'ils avaient plus de 16 de moyenne en terminale, . Qu’est ce que je fais là??

  • A l'université :

1ère année:

Je débute l'année en bossant comme une malade. Les premiers examens tombent au bout de 2 semaines: je cartonne. , je me remets à mon rythme de croisière habituel (tout de même bien plus poussé qu'au lycée! mais j'en fais moins que les autres...). Je valide mon premier semestre avec 11,75 (grâce à mon carton aux tous premiers examens) et mon deuxième avec 10,91. C'est pas mal, puisque beaucoup ne valideront pas, mais je suis loin d'être encore dans les premiers de classe et s'inquiéter pour la première fois de redoubler mine de rien ça fout un coup! Et puis mes notes sont hyper disparates.. Je me rends compte qu'effectivement, je n'ai pas de méthode de travail adaptée, et je manque sérieusement de sérieux dans mon organisation. Mais c'est plus fort que moi, même si je sais que j'ai toutes les clés en mains pour réussir je continue de tout faire à la dernière minute.


2ème année:

Nous ne sommes plus que 100 environ. Je pars avec de bonnes résolutions, parce que j'ai bossé. Mais je ne vais pas bien, puis je me fais larguer, puis je tombe malade. Je suis complètement découragée, je me dis que le français n'est pas fait pour moi. Résultat: une année catastrophique. Je valide mon premier semestre avec 11,31 mais je suis incapable de travailler ou d'aller en cours. Je loupe mes partiels, et je suis tellement dans un mauvais état que je ne peux pas me rendre à l'une des épreuves. Je passe donc aux rattrapages. J'obtiendrai finalement 10,74. Mais bon, je fais quand même partie des derniers de la promo.

3ème année:  

Nous ne sommes plus que 80en science du langage, et je suis toujours là Je suis mieux dans ma tête, et ça se ressent. Je suis moins fatiguée, je m'effondre moins, je baisse moins facilement les bras,  et ça me fait un peu de bien à l'ego. Je pense donc avoir trouvé ma voie, maintenant  faut que je continue à m'accrocher pour m'en sortir.